Promenade pour se degourdir un poil...

Dormunia s'était levé tôt ce matin là pour pouvoir voir le soleil se lever derrière le rempart de roche qu'était le volcan, ses pas lourds résonnèrent dans son village alors que tous les frères étaient encore endormis...

Les pas du géant de pierre le menèrent plus bas encore dans la montagne, ce fut lorsqu'il vit les toits rouges du village Cocorico que sa royale Goronitude décida de pousser jusqu'en Hyrule, il prit alors le soin de glisser en avant...

De la main droite il frappa le sol à ses pieds afin de se donner une impulsion, c'est parti!

La monde n'était plus qu'une route sombre aux contours mal définis, Garon roulait à toute vitesse, comme tout les Gorons il adorait cela, même si ses frères n'aiment pas trop le voir rouler comme si il avait encore 50 ans...
Ainsi Dormunia dévala la pente dans un nuage de poussière immense, arrachant sous lui des rocs, traçant un chemin de terre fine, il rabotait ce vieux chemin, et c'était bon!

Cette tempête traversa Le village Cocorico en un instant, usant même d'un toit pour décoller au dessus de la barrière qui fermait le petit bourg, il était tôt et les gardes n'avaient pas encore ouvert les lourdes portes de bois...

"WAAAAAAAHHHHH!!!"

un météore alla frapper la plaine d'Hyrule, laissant un impact titanesque, du cratère se releva de la manière typique Goron, le Roi, Dormunia, tout sourire et un peu désorienté par sa chevauchée fantastique...

Il sorti du cratère et se dirigea vers l'ouest, en passant devant le château de son compatriote Hylien, peut-être que quelqu'un irait voir le lever de soleil avec cette vieille carcasse de Goron?

L'eau. Il admirait l'eau. Libre, elle pouvait aller où elle voulait. En groupe, elle pouvait tout détruire. Et pourtant, elle donnait aussi la vie et permettait de se déplacer. Comme il admirait l'eau. Si courageuse, elle ne reculait devant rien et n'avait peur de rien. Elle était même craint.

Comme il aurait aimé être forte comme elle. Mais il n'était que lui. Un prince gêné et inutile. Il n'apportait rien au peuple Zora. Toutes les décisions étaient prises par son grand-père. Lui, tout ce qu'il était en mesure de faire, c'était d'écouter les problèmes du peuple. Même là, c'était ses juges qui "l'aidait" à prendre les décisions. Il aurait voulut être un bon dirigeant, comme son grand-père, ou sa mère... Comme elle lui manquait! Il repensait encore à ce qu'elle lui avait dit avant de partir. Ça le perturbait toujours. Pourquoi....pourquoi....

Il était dans sa chambre royale. Il se sentait suffoquer. Il devait aller prendre l'air. Il prit ses armes, si jamais, puis plongea dans le trous d'eau qui le conduisit, au bout de plusieurs longueurs (afin d'éviter que des personne dangereuse ne vienne pas dans son antre), vers le bassins. Tous les Zoras qu'il croisait s'inclinait par pure politesse et continuait leurs occupations. Il ne s'y attarda pas et sortit par la rivière. Il se laissa porter par le courant.

Il oublia le temps, il ferma les yeux et il était bien. Au bout de quelques temps, il ouvrit les yeux. Le courant était si faible qu'il ne bougeait quasiment plus. Il sortit sa tête de l'eau et ses doutes furent fondés. Il était à la plaine d'hyrule. Il y avait un goron devant lui. En espérant qu'il ne l'avait pas entendu...

Le ciel commençait à s'embraser face au disque solaire se levant de l'est, les nuages, gris de leur nuit, commençaient à s'illuminer de pourpre alors que l'astre irradiait l'horizon de son cercle de feu.

Dormunia plaça sa main droite au-dessus de ses yeux afin de profiter pleinement de cette image onirique, au loin la silhouette du Ranch Lon-Lon était comme une imperfection à cet horizon plat et régulier.
En fait la ferme de Talon ( Garon est très vieux, dans sa jeunesse il connu Talon et Malon) rendait à ce tableau rougeoyant une ambiance superbe, Comme le grain de sable se transformant en perle dans la nacre d'une huitre...

C'est quand il cherchait dans son sac à bon cailloux, afin d'en croquer un fameux, Que Dormunia entendit un léger clapot près de lui...
après s'être lancé (magistralement) une pierre de la grotte à Dodongo dans la bouche, et avoir apprécié le croquant de cette roche si fameuse, le Goron alla voir ce qui provoquait cette aquatique agitation.

En s'approchant il put voir un jeune Zora dériver, emporté par le courant venant du lac, dans sa longue carrière de Goron, Dormunia avait déjà arpenté le sentier qui bordait la rivière Zora, et, foi de Goron, tomber dans ce tourbillon devait être une rude épreuve! même pour un Biggoron!

Toujours avec le sourire, le roi Montagnard s'était assis près de l'espèce de terminus de la rivière, parfois il y avait des fées par ici, les jours de tempêtes...
En attendant que le jeune Garçon se réveille, Garon reprit une pierre et se tourna vers ce soleil de plus en plus blanc, l'aube savait enrober l'astre d'un voile de pureté que Dormunia savait apprécier particulièrement avec le craquement d'une bonne roche Dodongo sous les dents...

après quelques temps un petit bruit cristallin, typique d'une goutte d'eau tombant dans une flaque, reveilla le Goron qui s'était égaré dans ses rêveries, il se retourna et regarda le Zora, il était vraiment jeune, il semblait aussi un petit peu dans le gaz...

De sa voix grave et joviale, Dormunia commença à parler, avec le grand sourire et la bonne humeur qui le caractérisait, lui comme tout les Gorons...

"Ça va petit? T'as du faire un sacré voyage depuis ta source!"

En se retournant le vieux Gorons fit craquer ses énormes phalanges puis se mit à se gratter le cou, toujours avec un trait brun lui découpant le visage, sa vieille barbe rocailleuse ne pouvait cacher son sourire amical.

"Tu me dis quelque chose toi... tu ne serais pas venu livrer du Corail au mont du péril des fois?!"

La naïveté des Gorons est elle aussi de renommée mondiale, le roi est un exemple de simplicité d'esprit pour les choses sans importance, il avait surement déjà vu ce jeune Zora, il était le roi des Gorons, et Tristan est le prince des Zoras... Rien que cela aurait du lui mettre la puce à l'oreille, mais le vieux roc qu'était Dormunia était dans un etat d'esprit tellement jovial qu'il ne pensait qu'à des choses sans intérêts...

Dommage. Il aurait bien aimé continuer à se laissé flotter. Maintenant, il devrait faire du social... Il allait, une fois de plus, s'humilier. Il battit légèrement des pieds pour se mettre à l'horizontal. Une position plus adéquate pour discuter. Il lui rendit son sourire, pour ne pas paraître discourtois. Il reconnaissait le goron, n'était-ce pas le roi roi Garon? Dans ce cas, il devrait faire encore plus attention à ce qu'il allait dire.

-Oh...oui...un long voyage...

Dit-il d'un ton mal assuré.

Il écoutât ce que le goron dit. Lui, un marchand de corail !?! Malheureusement, il ne l'était pas. Et comble du malheur, il devrait maintenant défendre son honneur... Comme la vie de prince est difficile.

-Non, je ne suis pas un marchand de corail....Je suis le prince Zora, pour vous servir.

Il dit ces dernières paroles comme lui avait montrer son grand-père.

la petite voix du Zora était entourée du léger son de l'eau balayée par le vent, Dormunia poussa un peu sur ses bras afin d'approcher sa masse du petit lac, la vibration du colosse de pierre fit se déplacer une onde à la surface...

Le petit semblait avoir une allure plutôt guindée, comme tout les zoras, qui sont une race si fière que même le plus petit morceau de ce peuple prends un air fier et obstiné...
En tout cas selon Garon.

à y voir de plus près ce jeune Zora lui disait vraiment quelque chose...
C'est quand il avoua être le Prince Tristan que Dormunia se frappa le front avec une grimace de "mais oui évidemment!"

Le géant de pierre souria de plus belle et se gratta sa grosse barbe rocailleuse;

"mais oui! tu es Tristan Holt! Héritier du trone Zora depuis que ta pauvre mère nous a quitté..."

Le sourire du Jovial monarque s'effaça un instant, juste pour fouiller dans sa mémoire de Goron le souvenir de cette princesse si jeune à l'époque...
Puis aprés avoir scruté encore une fois l'horizon Garon déposa son regard sur le jeune orphelin de prince...

Il était assis en tailleur, pouvant ainsi lire dans les yeux de son interlocuteur, afin qu'il n'ai pas à parler fort à cette jeune âme, pour ne pas élever la voix afin que personne n'entende le récit si personnel du prince...

"Comment va la vie dans votre royaume? cela fait si longtemps que je n'ai pas visité cette magnifique source... la glace a-t'elle définitivement disparue?
Je me souvient de cette cascade immense..."

Sa voix était posée, avec le calme et la patience liées à son grand age. Le roi des Gorons regarda encore une fois cette sphère de lumière qui s'élevait en silence...

"Excuse moi prince de ne t'avoir reconnu au premier regard... mais tu était si jeune la dernière fois que je t'ai vu, et ma mémoire me joue des tours à une heure pareille..."

Le Goron regarda vers l'aval de la rivière zora et décrivit la trajectoire que le jeune prince avait du parcourir...
Une pointe de tendresse lui ébranla la voix;

"Et que fais-tu ici? moi je suis venu regarder le lever de soleil, mais toi tu dois avoir une autre raison non?"

Au moins, il connaissait son nom, comme quoi il était connu dans d’autres endroits que dans les territoires Zoras. Sa mère…Son souvenir le faisait souffrir. Au moins quelqu’un qui avait le cran de lui demander. Ce n’est pas comme les autres, qui font comme s’il n’y avait pas eut de princesse. Savoir que quelqu’un se préoccupait de sa mère lui faisait chaud au cœur. Il se retena de pleurer. Il ne devait pas perdre la face devant un roi quand même! Il détourna les yeux pour ne pas que les larmes au bord de ses yeux paraissent. Il était encore perturbé par les souvenirs que lui avait rappelé sa promenade. C’était une des rares activités qu’il faisait avec sa défunte mère. Ils se laissaient porté par les courants. Il avait continué à le faire, c’était très relaxant et ça lui permettait de reprendre ses esprits.

Puis, il lui parla de son royaume. La glace avait disparut depuis longtemps. Même lui ne l’avait jamais vu. La cascade…La magnifique cascade. Tous les Zoras, jeune et vieux, s’amusent à la monter et à la redescendre, portée par l’eau. Il n’osa pas répondre, de peur que sa voix enrouer ne paraisse. Après quelques temps de calme, il allait répondre, quand le roi Goron en posa une autre. Au moins, il avait une bonne excuse pour ne pas le reconnaître.

-Je vous pardonne, c’est vrais que je ne porte pas toujours ma couronne, ce qui porte à confusion…

Répondit-il.

-Je…Je me relaxait dans la rivière….

Il ne voulait pas avouer qu’en fait, il se faisait bercé par le souvenir de ses parents.

-C’est vrais qu’il est beau…le soleil…

Le Goron Souriait avec une sympathie toute Royale, les commissures de ses lèvres remontaient presque jusqu'en haut de sa tête toute ronde.
Ainsi le petit prince avait une voix! Dormunia se gratta un genou tout en dodelinant de la tête, son effort valait bien un petit en-cas, Sa royale majesté s'offrit un magnifique roc de pierre dodongo tout frais de la veille...

Tout en croquant ce délice de sédiments, Garon écoutait ce petit roi qui barbotait devant lui, Le monarque du mont du péril put même sentir toute l'émotion que contenait ce petit corps. Il écoutait en silence, puis se mit à rire à pleine voix quand Tristan parla de sa couronne;

"Tu sais moi tout le monde me reconnait, même si je n'ai pas de couronne!"

Son rire était fort et bruyant, un groupe d'oiseau s'envola d'un arbre avoisinant, le bruit des dizaines d'ailes à l'unisson claquait dans l'air frais de l'aube, et le soleil effectuait toujours son éternelle ascension, inondait la plaine d'Hyrule d'une aura lumineuse...

justement Tristan parlait du soleil, c'était vrai, ce matin était un bon jour pour les amateurs de lever de soleil, temps clair, pas un seul Goron pour vous tanner à propos d'une course de roulé-boulé...
Sur ces pensées Dormunia tendit ses longs bras musculeux vers le ciel, un léger craquement se fit entendre alors que le Roi Goron se mit à bailler avec un bruit de vieux chat fainéant...

"Oui il est magnifique, mais peut-être le préfères-tu au-dessus du lac? ce n'est pas le soleil que je recherche en général, juste le calme..."

Il se tourna vers son jeune Ami Souverain et lui frappa sur l'épaule à la manière Goron, le Zora disparaissait sous l'eau à chaque impact , ce qui fit beaucoup rire Dormunia qui s'arrêta après quelques secondes laissant sa main rocailleuse sur la fine épaule écaillée de Tristan, il le regarda avec toujours son sourire, mais un plus sérieux cette fois...

"J'ai beaucoup de chance d'être le chef d'une bande de guerriers fêtard adepte de câlins, mais toi tu dois diriger une patrie d'individus fiers et intelligents..."

Il relâcha son emprise sur le jeune Prince et sorti de sa bourse le rubis Goron, la lumière rouge du joyaux irradiait le petit lac dans une lueur pourpre, Garon regardait son héritage avec un air sérieux...

"Avec le temps on accepte plus ou moins cette tache, gouverner est une aubaine crois-moi, on peu faire ce que l'on veut!"

Il se mit à rire à gorge déployée, puis redevint sérieux, tout en gardant son sourire de grand-père;

"sans rire, il est difficile d'être parfait, mais même un Goron sait quand son roi est capable, t'es encore jeune, peut-être trop, comme tout les monarques tu dois faire tes preuves, mais rien ne presse..."

Il l’écouta parler sans broncher. Il faut dire qu’un goron est assez intimidant. En plus, celui-ci était roi! Il ne voulait pas dire n’importe quoi, pour ne pas paraître idiot. Alors il l’écoutait parler sans broncher. Mais s’il ne parlait pas, aurait-il l’air idiot? Il écoutait à moitié le roi tout en pensant à ses propres problèmes. Qu’allait-il bien répondre?

-Moi aussi je cherche le calme….en faite je cherche la solitude pour….pour décompresser, tout simplement. Il est vrai, toute fois, que le soleil du haut de mon domaine est sublime. Qui plus est, les éclats sur l’eau sont fantastiques.

Puis il commença à lui taper dans le dos. C’était comme si une montagne lui tombait dessus! Ses écailles le faisaient souffrir. Même sous l’eau, sa peau le brûlait! Il garda toutefois sa douleur pour lui, pour montrer que lui aussi, il pouvait être fort! Par contre, il ne put se retenir de faire une grimace de douleur. Il tenta de se remettre droit sur ses pieds, mais son épaule le faisait tellement souffrir! Il regarda le goron et lui fit un sourire timide, comme pour lui montrer qu’il aimait ses marques d’attentions. Tout a fait faux. Il préférerait manger de l’oursin que de devoir subir une autre de ses tapes! Il répondit toutefois à son compatriote.

-Oh…oui effectivement, ça doit être plus simple dirigé des gorons, sans vouloir vous vexer…

Il regrettait ses dernières paroles. Plus simple diriger des gorons! Autant lui dire qu’il dirigeait un peuple stupide!

Alors il se retenus de parler pendant un autre bon moment.

-Dites cela à mon grand-père…

Ne put-il pas retenir.

-Il veut à tout prix que je devienne un bon monarque le plus tôt possible, afin de bien remplir mes fonctions. Il a peur de partir avant que ma formation soit terminée…

Désormais le soleil se transforma en cette boule de lumière que tout le monde connait par cœur, éblouissante applique soudée au ciel, et les rayons de l'astre frappaient la plaine, colorant de sublime l'immensité d'Hyrule.
Les pieds du roi des Gorons trempaient dans la petite mare où se trouvait Tristan, le vieux monarque tournait désormais le dos à ce soleil devenu banal...

Il se mit à sourire en regardant son jeune compagnon;

"Oui je suis le roi d'un peuple pacifique et travailleur, notre train de vie est d'une facilité déconcertante..."

Dormunia donna doucement un coup de coude vers le prince et lui fit un clin d'œil.

"On devrait échanger nos places! je suis sur que personne ne s'en rendrait compte! même ta vieille canaille de grand père!"

Puis il se mit à rire de bon cœur, s'imaginant avec des palmes et peint en bleu; ce qui le fit plus rire fut l'image du prince Zora en pagne au dessus du mont du péril en train de dévaler la pente en roulant...
Garon redevint sérieux puis croqua une pierre Dodongo;

"Il n'y a pas de bonne ou de mauvaise manière de gouverner, chez nous, c'est l'individu le plus fort qui est choisi, chez les Zoras c'est une question de lignée, tout le monde prends en compte cette idée, alors ton peuple sait quel age tu as, même moi je connais ton histoire petit prince..."

L'heure tellement peu tardive fit se lever le Goron qui se mit à s'étirer en baillant, ses os rocailleux se mirent à craquer dans un bruit clair, un léger marmonnement de satisfaction s'échappa de la gorge du roi Goron.
Il se mit à se gratter le menton et continua;

"L'histoire a vu nombre de dirigeant, qu'ils soient Zoras, Goron ou Hyliens, chacun a eu son histoire, ses guerres et ses problème, à toi de faire avec les tiens, ton grand père n'essaye pas de faire de toi un roi avant qu'il ne s'en aille, il essaye de faire de toi une personne éduquée...
rien de moins..."

Il écoutât le discours du roi. Pourtant, il perdu le fil. Non pas que c’était ennuyant, ou compliqué. Au contraire. C’est seulement que l’eau semblait agité. N’importe qui qui observait la rivière n’aurait rien vu d’anormal. C’est seulement que l’eau lui parlait, enfin, c’est ce qu’il pensait. Elle souffrait, elle lui demandait de l’aide. Plus le soleil se couchait, plus le message se faisait sentir. Il était clair et net. ‘’À l’aide’’.

Le jeune prince semblait perturbé. Et ça se voyait clairement. Ce message, qui parcourait tout son corps, le faisait souffrir. Toute cette agitation atteint son système digestif.

Il vomit. Pas grand-chose, mais il vomit. Il faut dire qu’il n’avait pas mangé grands choses. Des restes de poissons, un peu de coraux et des fruits secs. Une petite marre brunâtre se forma où il avait vomit.

-Euh… désolé…

Il cracha un dernier résidu dans sa bouche, avant de se hisser hors de la rivière.

Il se sentait mieux maintenant. Il se coucha sur l’herbe et ferma les yeux, pour rééquilibrer son système. La dernière secousse avait été si puissante, qu’il n’avait pas pu se retenir.