Recherche de la belle [PARTIE 1]

Shikoru n'ayant pas vu la jeune et jolie Hylienne faire son marché s'était tout de même inquiété, en effet, elle devait s'y trouver chaque matin, mais pour une raison inconnue, ce matin là elle n'y était pas. Venant de se procurer arme et armures, le jeune prince avait décidé de partir à sa recherche, mais avant de fouiner dans la plaine d'hyrule, il se devait de se rendre au ranch, le centre du territoire, peut être que le dirigeant aurait aperçu quelque chose d'inhabituel. Alors que Shikoru arrivait enfin à destination, il était déjà presque midi et son estomac commençait à crier famine, mais la détermination du blond lui avait vite fait d'oublier ce léger détail. Il se souvint lorsqu'il pénétra dans l'enceinte qu'il était tombé amoureux d'un fille travaillant ici, alors qu'il n'était encore qu'un enfant. Voilà quelques années que cette femme ne venait plus à Hyrule pour vendre son lait et Shikoru se demandait si elle travaillait encore ici, bien qu'elle devait être à l'heure actuelle bien moins attirante que part le passé. Il apercevait au loin des chevaux en train de courir dans l'enceinte prévue à cet effet, de plus les poules picoraient tout ce qui se trouvait aux alentours. N'ayant jamais mit les pieds dans cet endroit, Shikoru commença à chercher quelqu'un à l'extérieur, mais rien n'y avait fait, il avait fait le tour de l'enclos des chevaux, mais en vain. Le voilà donc à la case départ, personne ne semblait être dehors, il avait donc pensé que peut-être, il trouverait quelqu'un dans un des bâtiments proches de l'entrée du ranch, il décida de se rendre dans le bâtiment se trouvant à sa gauche, lui qui était face à l'entrée. Il commença tout d'abord par frapper à cette porte en bois semblant datée de quelques années, le bois semblait s'émietter en quelques sorte, mais l'important n'était pas là. N'ayant aucune réponse, le jeune homme poussait lentement la porte, laissant ses yeux bleus observer ce qu'il y a à l'intérieur du bâtiment.

//HRP: Désolé du petit post, mais l'inspiration me manquait...//

Personnage : Helga Tronsmik, fermière employée…

Helga, qui travaillait se matin la très tôt comme a l’habitude, ne s’attendait pas a recevoir de la visite… pourtant, il y eu un énorme vacarme dans l’arrière cours au moment ou elle faisait une pause pour aller déjeuner… alors elle pensa que quelqu’un devait avoir eu un accident ou encore c’était fait attaquer par une quelconque créature… qu’elle surprise elle eu, donc, en voyant un homme plutôt grand, entouré d’un aura noir et totalement recouvert d’une grande cape… Cet homme, elle ne le connaissait pas, mais il lui disait quelque chose, et en plus, il était avec une fille, très jolie, mais pas du genre à se tenir avec un homme aussi… Disons… effrayant… Peut-être était-ce du a ses yeux qui semblaient brillé dans le noir causé par sa cape, ou alors par l’aura qui l’entourait… Chose sur, elle ne comptait pas allé lui offrir du thé… hors donc, elle prit la bonne résolution d’aller voir comment allait ses plants de tomates… Au moment ou elle tournait lentement et silencieusement les talons pour aller courageusement faire du thé, l’homme se tourna vers elle et la darda d’un regard vide d’émotion… La femme entre deux âges, jeta un dernier coup d’œil vers la jeune fille ligoter qui semblait se débattre du mieux qu’elle pouvait, puis s’évanouit, au son d’un petit rire profond, mais qui minait le moral de quiconque l’entendait…

A son réveil, Helga eu un choc, tout était disparu, mais pourtant, un sentiment de profond empressement prônait dans son esprit… elle se dit qu’elle avait du rêver et tenta de chasser toutes c’est images de son esprit, mais sans résultat… se fut donc après être allé prendre quelques tomates qu’elle rejoint la maison dont son patron lui avait laissé la charge jusqu'à son retour… Elle laissa échapper un petit Bâillement puis ouvrit la porte pour tomber face a fa… face a dos, avec le prince héritier… elle laissa échappé ses tomates puis cria, effrayée… Croyant qu’il s’agissait de l’homme en noir du matin, revenu pour la prendre avec lui, elle saisit un ballait puis le brandi dangereusement devant l’intrus :

-Sortez d’ici immédiatement, voleur de jeune femme!

Hurla-t-elle beaucoup plus effrayée que menaçante…

-C’est votre der-dernier avertissement…

Bégaya-t-elle pointant la brosse de façon très peu convaincante… Pourtant, elle n’aurait sur dire pourquoi, elle avait très mal au bras… elle se permit de jeter un œil et vis quelque chose qui n’y était pas ce matin… Une flamme gravée dans sa chaire…

Hj: tiens, j'espère que cela t'en donneras un peu... link:10

Shikoru fut très surpris d'entendre une femme crier dans son dos, mais on ne sais par quel réflexe, le prince héritier roula en avant pour esquiver toute attaque susceptible de le toucher. Il était à genoux et s'apprêtant à sortir son épée de son fourreau, il se releva en faisant un demi-tour sur sa jambe droite. Son regard était emplie d'assurance, comme si il ne craignait rien, et pourtant il se savait faible, comparé à son ancien maître. D'ailleurs celui-ci disait souvent que le roi en personne était bien plus puissant que le meilleur des guerriers d'Hyrule, c'est d'ailleurs pourquoi le prince n'avait jamais contredit son père, de peur de prendre une rouste comme jamais il n'en avait prit. Cependant, il est vrai que son adversaire du jour était une femme, pas du tout du style qu'aimait le blond. C'est pourquoi il n'aurait eu aucun remord à la frapper si le besoin s'en laissait ressentir, cependant, il remarqua quelque chose d'original. Une marque en forme de flamme, récente à ce que l'on pouvait voir, en effet, la marque rouge qui entourait la flamme laissait présager d'une marque au fer rouge, de quatre heure tout au plus. Vous vous demanderez certainement comme le jeune prince pouvait connaître ce genre de chose, et bien la raison en simple. Le marquage des prisoniers au fer rouge était monnaie courante dans certains clan, et avec les nombreuses visite qu'il avait faites avec son père, il avait pu en voir beaucoup dans son passé, il est vrai que la position qu'il tenait en ce royaume était forte instructive, si bien qu'elle était devenue pour lui un véritable avantage avec les années. Mais cette histoire n'était pas la plus importante, calmer la femme l'était bien plus, et c'est pourquoi Shikoru s'approchait gentillement, en essayant de calmer la femme, en lui demandant de poser son arme, bien que ce terme paraissait très bizar quand on parlait d'un simple balai. L'homme aux yeux bleux pensait maintenant que son nom lui serait peut être d'une grande utilité, non pas qu'il rechiniait de la frapper, mais pourquoi frapper alors que l'on peut éviter? C'est un détail que beaucoup de gens oubliait, préférant se faire respecter de façon violente. Shikoru approchait alors à taton, la main gauche en avant pour tenter d'attraper le balai, sa main droite sur le pommeau de son épée accrochée dans son dos.

« N'ayez pas peur, donnez moi ce balai... Je suis Shikoru Nohansen Hyrule II, prince héritier du trône d'Hyrule... Croyez-moi »

C'est alors que Shikoru profitait de la possible hésitation de la femme, en empoignant le balai par le manche, juste à l'extrimité où commencait la brosse, il devait régler cette affaire au plus vite et demander des informations afin de poursuivre ses recherches. Seulement son approche envers la femme serait elle suffisante pour la calmer et ainsi entamer une discution avec elle?

Personnage : Helga Tronsmik, fermière employée…

Helga était tremblante sur le pan de la porte de son patron, comme une feuille chétive balayé par une brise un tant soit peu trop forte… alors, au moment ou il se présenta, elle fit un pas en avant comme pour mieux voir… bien qu’elle fut dans la quarantaine, elle n’en était pas pour moins aveugle… elle lorgna le visage de l’héritier et eu un léger soupire… le prince lui agrippa la ballait et enfin elle vit bien son visage… elle prit ses joue de ses mains puis ouvrit la bouche comme sous le choc d’un grande révélation, pourtant, aucun son ne sortit de sa bouche… alors, après deux secondes d’observation, elle s’écroula en pleure et se répandit en excuse…

-Ô votre majesté, je suis tellement désolé, tellement navré… C’est que, vous comprenez, avec toute cette agitation de se matin, et puis en plus, je me fais vielle, mes yeux ne sont plus aussi bons… pardonnez moi je vous en supplie…

Ajouta-t-elle en rampant au pied du futur monarque, baisant ses pieds comme le fait un simple esclave a son maitre… bien sur, cette femme était fière, mais tout de même, elle parlait a l’héritier… Eh puis elle était pauvre… si jamais elle pouvait se faire ami-ami, peut-être se montrerait-il gentil envers l’humble travailleuse… Si seulement elle n’avait pas aussi mal au crane depuis qu’elle s’était relevé… elle souffrait atrocement tout d’un coup… elle tenta de se relevé mais manqua de se fendre le crane a une table… elle fit quelques pas en zigzagant, puis elle s’agrippa au dos d’une chaise… elle s’y assit puis fit un regard désespéré au roi…

-Je suis désolé de se manque de politesse, rentreriez-vous du thé… il n’est surement pas aussi bon qu’au château, mais il est frai du marché, le l’y ait acheté pas plus tard que hier soir monsieur…

Elle voulu joindre le geste a la parole mais fut incapable de se lever… ses jambes tremblaient et sa tête la martelait… elle se la prit entre la main, et le mal grandit encore, au fur et a mesure que la marque devenait flamboyante…

Shikoru fut bien gênée lorsque la fermière commenca à s'excuser, il ne savait pas quoi faire, trop de solution s'offrait à lui, la femme alla même jusqu'à lui baiser les pieds. Et pourquoi ca? Après tout, un homme quel qu'il soit, prince, clochard ou bien marchand n'avait aucun droit d'entrer dans la demeure de qui que ce soit comme cela. C'est ainsi que Shikoru en vivait pas réellement la scène, préférant la regarder se dérouler sous ses yeux, le choc de la tête de la femme contre une des tables le sortait de sa pseudo-somnolence. La femme totalement étourdit et sur le point de faire un malaise tenta de faire comme si de rien était, mais son tracas et sa souffrance se lisait sur son visage comme dans un livre ouvert. Shikoru écoutait la travailleuse, en comprenant bien la fierté qu'elle avait en elle, se montrer faible devant le prince héritier devait certainement lui sembler impossible, préférant nier les faits, la femme montrait encore son impuissance face à la situation, incapable de se lever de sa chaise, comme si elle était proche de la paralysie. Le blond souhaitant obtenir des renseignements préférait faire ce que cette femme aurait souhaiter faire pour lui, servir le thé, en effet, le prince avait remarquer le bras de la femme lorsque celle-ci avait tenté de se lever, il commenca part sortir deux léger sachet de tissu emplie des différents ingrédient nécessaire à la préparation de ce nectar si apprécier au château, certain dans cette demeure affirmait froidement que le thé était la boisson des gens riches, Shikoru ayant pour habitude d'observer la ville et la chaleur que les gens du peuple dégageait, niait ces dires, préférant humilier le prétencieux en public, mais bien évidemment, chacun changeait son fusil d'épaule pour suivre la parole de celui qui les gouvernerait un jour. Pour ces gens sans scrupules, il ne fallait pas attendre pour d'attirer les faveurs de quelqu'un à la puissance de celle de Shikoru. L'eau commencait à bouillir, Shikoru avait suivit chacune des instructions de la femme lors de la préparation de la boisson, il prit donc la bouilloire afin de servir une bonne tasse à la femme qui semblait en avoir bien besoin, puis tout en commencant à parler, Shikoru se servait lui aussi une tasse.

« Excusez-moi de vous avoir fait peur Madame, mais je suis à la recherche de quelqu'un, une jolie jeune fille brune. Vous savez je ne sait pas pourquoi je me suis lancé la dedans, mais je l'ai fait, et en voyant votre état, je peut me permettre de penser que vous savez quelque chose... De plus, vous êtes en plein centre de la plaine d'Hyrule, ce qui permet d'entendre diverses choses, plus ou moins intéressante. »

Shikoru avait reposé la bouilloire afin de s'installer sur la chaise en face de la femme. La marque qu'elle possédait l'intriguait plus que tout, mais ce n'était pour l'instant pas son problème, même s'il souhaitait avoir de plus ample informations sur son état. Il prit la chaise et lui fit faire un demi-tour, s'installant les jambes écartés autour du dossier de la chaise. Il aimait paraître comme tout le monde, même si sa façon de parler, son vocabulaire, son air hautain le trahissait, et afin de cacher son appartenance au château, il positionna ses bras sur ce même dossier, l'un sur l'autre pour finir de poser sa tête dessus, un sourire en disant long sur son envie de se rapprocher de cette femme, surtout de la mettre en confiance pour obtenir ce qu'il souhaitait.

Personnage : Helga Tronsmik, fermière employée…enfin, peut-etre...

La femme eu un petit sourire lorsque le jeune futur roi lui servit le thé pensant que, finalement, peut-être tout les héritiers n’étaient pas imbus de leurs personnes… enfin bref, il parla et a se moment elle se cabra… fut prit d’une brève mais puissante convulsion… puis elle regarda le jeune homme d’un regard nouveau… son regard était maintenant sombre… puis sa voie fut bien plus caverneuse mais plaintive…

-Oh! Bien sur, se matin, j’ai entendu un bruit et des cris… je ne l’ai pas reconnu, il était tout de noir vêtu et avait une femme ligoter sous le bras, elle semblait vraiment mal en point, elle ne bougeait même plus… si quelqu’un ne la trouve pas vite, je crains qu’elle n’en ait plus pour longtemps…

Elle fit une mine déconfite puis versa une légère larme de crocodile… hum, comme il était confortable cet esprit, douillet et tout plein de souvenir mielleux… et en plus ce prince semblait si facile a manipuler, ah l’amour… elle menait tellement loin…jusqu’au point de non retour… qui, malheureusement, était déjà depuis longtemps dépasser pour le jeune homme… sa jeune amie était encore en vie, mais tant quand il n’aurait plus besoin d’elle, elle ne serait plus qu’un vague souvenir… mais il ne fallait pas être triste… sa mémoire serait intacte…

Shikoru avait vu que cette femme était mal en point, seulement elle semblait ne aps vouloir en montrer d'avantage, même si ses yeux laissait entendre le contraire. Ecoutant la femme, le jeune prince semblait bien intéressé, si bien qu'il avait relever la tête pour être sûr de bien comprendre, il se dit alors qu'il avait visé juste, le ranch Lonlon était bel et bien le centre d'hyrule, et cette information en était la confirmation, si bien qu'il avait décidé de prolonger le dialogue, lui qui n'était pas forcément très causant par habitude, se devait maintenant de prendre la parole plus qu'à l'accoutumée. La première chose qu'il se demanda était « Qui pouvait bien en vouloir à cette fille? » Elle qui était si belle, à l'apparence chaleureuse et inaccessible à la fois, son regard souvent dirigé vers le ciel, comme si elle faisait partie d'un autre monde, le monde divin, la terre sacrée. Elle qui paraissait chaque jour plus angélique que la veille, qu'avait-elle pu bien faire pour qu'on lui en veuille à ce point? Il ne le savait pas, et son interlocutrice ne devait pas avoir plus d'information que lui à ce sujet. Seulement elle en savait tout de même plus que lui sur l'ensemble de l'affaire, comme si il dépendait d'elle, il se leva et posa ses mains sur la table avec une certaine violence.

« Dites-moi, où sont-ils partient? J'ai besoin de savoir, quelle direction? Où même un détail qui pourrait indiqué ma future destination? »

Ses paroles étaient pleines d'envie et d'honnêteté, sa voix ne pouvait pas tromper sur l'état dans lequel il était, fou de rage et si compatissant. Comme si le destin de cette jeune femme était étroitement lié au sien. Il devait se dépêcher, le temps était certainement pressant, peut-être même jouerait-il un rôle important pour lui, mais surtout pour celle qui l'avait fortement intrigué de par son visage d'ange et son regard apaisant. Il est vrai que le prince n'avait jamais osé lui adrésser la parole, sans doute par peur, ou par respect de ces moments qu'il n'avait jamais connu auparavant.

//HRP : désolé, mais j'ai vraiment pas grand chose à dire sur ce post ><//

La femme, ou plutôt l’entité qui en avait fait l’emprunt, fit un petit mouvement de main et, immédiatement, reprit contenance comme ci aucun événement surnaturel ou improbable c’était produit ce jour la… ce qui signifie que, de femme éplorée et toute dévirée par le malheur, elle était maintenant une femme sure d’elle, avec le visage sévère et tout à fait confient, voir sur d’elle-même…

-Foutaise, sa ne sert a rien de la suivre, la ou elle est, plus personne ne pourra jamais la sauvé, même si vous joué les chevaliers servant et que vous dégainer dangereusement votre petit cure-dent…

Elle eu une sorte de sourire mauvais puis se leva lentement observant l’homme de haut… la flamme marquée dans sa chair avait disparue et les yeux de la femme entaient maintenant totalement sombres… Noir pour dire vrai… sur la table, et bien qu’il fut presque invisiblement placé, était placé un échiquier sur lequel trois pièces étaient placé… la première était un homme richement habiller sur lequel était gravé le nom, Daphnes, Roi d’hyrule… La seconde, semblait être un jeune aventurier sur lequel n’était noté aucun nom, mais était écrit : héritier du trône… Puis, la dernière représentait une jeune femme très belle mais sans nom, elle était brisée en deux… la femme regarda l’échiquier puis dit pour elle-même, bien qu’assez fort pour que l’héritier puisse entendre :

-La partie vient de commencer… kru kru kru… Tout va se jouer dans les prochains tours…

Puis elle se retourna brusquement vers le prince et lui demanda :

-Serez-vous prêts a faire face a votre destin?

Elle souriait méchamment… toutes ses dents blanches luisants… les crocs légèrement prohibés…

Shikoru commencait à prendre peur, se demandant ce qu'il se passait, sans même comprendre un seul des mots de la femme, si c'était bien une femme, son air arrogant et son rire strident avait fait entrer le prince dans ce que l'on pourrait définir par fureur, même si ce n'était pas réellement le cas. Il devait savoir ce qu'il se passait, les yeux de la femme avait tourné au noir absolu, les ténèbres se lisaient dans les reflet blanc déposé par la lumière sur l'œil de cette personne. En effet, plus rien était sur, l'échiquier l'interpella, il n'y avait que trois pions, le roi bien entendu représentait son père, alors que les deux autres ne pouvait représenter que lui et sa mère peut être, il ne le savait pas mais les fissures sur la pièce représentant une femme lui faisait penser à la mort. L'ange noir semblait matérialisé par ce pion, peut être que le temps avait déjà joué son rôle, Shikoru n'avait plus de temps à perdre, il dégaina donc son épée Zora accrochée dans son dos pour pointer la gorge de celui qui possaidait ce corps, certainement pas la femme qui semblait apeurée quelques temps auparavant. Le bras tendu et les yeux plongés dans les siens, Shikoru empoigna son bouclier accrocher lui aussi à son dos, sans pour autant montrer qu'il en ferait usage.

« Qui que vous soyez, vous savez trop de chose pour que vous laisse garder ca pour vous. Parlez si vous tenez à la vie! »

Les yeux emplient de haine envers la femme, il se tenait devant elle, elle toujours assise sur cette chaise, lui étant debout il avait déjà prit l'avantage si le besoin s'en faisait ressentir, la discution prendrait son terme à la suite de la réponse de la femme. Si la coopération n'était pas présente, le prince héritier devrait user d'une autre méthode bien plus archaïque, le combat devrait faire rage. Nul ne l'empêcherais de retrouver celle qui, d'une étrange façon, avait réussi à se faire apprécier par le prince, qui semblait pourtant si distant avec elle. Cette haine pouvait sembler étrange, puisqu'il avait été si aimable et serviable peu de temps avant. Mais la transformation de la femme le laissait penser à un contrôle psychologique à distance, il se devait d'en trouver l'origine, si les vies du contrôleur et de la « marionnette » étaient liées, celui-ci ne chercherais pas à se mettre en danger, sois il quitterait ce corps rapidement, sois il dirait tout, en espérant que la femme avait réussi à elle aussi pénétrer son esprit afin de pêcher les informations que recherchait le prince. Cette méthode très obscure le faisait réfléchir, qui serait capable d'utiliser cette magie si sombre, seuls deux peuple lui venait à l'esprit, les Gerudos, dont le passé semble bien agité de traîtrise envers le royaume d'Hyrule, et les Sheikas. Mais cette dernière solution fût bien vite oublier par le blond, en effet, ce dernier peuple avait chaque instant de leur histoire depuis la grande guerre avait servit la famille royale, seulement certaine rumeurs prétendent qu'ils auraient combattu l'un contre l'autre. Ces rumeurs n'étant pas fondées, Shikoru se penchait plus sur les Gerudos. Lorsque lui vint une idée qu'il aurait à creuser, la bibliothèque royale avait peut être des archives retraçant l'histoire de la famille avant cette guerre. Le décision du prince était prise, soit il recevrait des informations ici, soit il irait en chercher à la bibliothèque, afin de ne comettre aucune bourde politique, en effet, son intervention en terre Gerudos pourrait enclencher un conflit majeur, de plus, le rince héritier se devait de respecter ces quelques règles, empêchant sa liberté totale, il ne devait jamais entrer en territoire ne lui appartenant pas si rien était sûr. Son devoir de prince passant avant ses petits caprices de fils peut être trop gâté à la mort de sa mère.

1 niveau pour le prince héritier! 3 points a distribuer!

La femme ne se départit jamais de son sourire puis elle lui adressa un clin d’œil avant de lentement se lever pour se mettre presque a la hauteur de son interlocuteur… alors la femme parla encore de sa voie légèrement trop grave pour lui appartenir…

-Tuerais tu une innocente pour le simple plaisir de revoir quelqu’un qui t’a été ravie… de toute façon, pour elle c’est déjà perdu, alors si tu détruis cette femme, tu n’aura qu’une mort de plus sur la conscience… oh oui, une mort de plus…

Il le regardait… cette fois-ci rien ne l’arrêterais… tout était fin prêt pour le grand retour… mais avant, deux petites choses lui manquait… petit un, une protection en cas de problème, petit deux, un imbécile heureux venant secourir son amour… avec ces deux ingrédients, ajouté aux autres, tout serait fini pour le peuple, devenu trop paresseux, d’hyrule… les gens ne changent pas, seul leurs apparences changent…

Shikoru avait maintenant un léger sourire, le simple fait de se dire que quelqu'un contrôlait la femme était devenu quelque chose d'exitant, la fin d'une vie trop monotone avait sonné, accompagnant le carillon qui donnait l'heure, celui-ci était accroché au mur à la droite de Shikoru, les tintement résonnait dans la pièce alors calme, la lame toujours sous la gorge de la femme, ayant suivit ses déplacements, un tas de chose se passait dans la tête du prince, son regard ayant changé, la haine avait disparue pour laisser place à une monter d'adrénaline toujours plus grande, son visage laissait apparaître un sourire qui en disait long sur cette espèce de joie qui emplissait son esprit. En réfléchissant, le blond se disait que cela pouvait paraître bizar, en effet, une femme avait disparue temporairement de ce monde et une autre l'avait peut être quitté définitivement, et lui entre les deux qui semblait s'en réjouir, comme si le bien qui dictait sa ligne de conduite jusqu'alors semblait le quitté, laissant place à un dédain incroyable pour toute personne le connaissant, seul son propre plaisir semblait prendre le dessus, mais il n'avait pas perdu de vue son objectif, il reprit vite ses esprit, mais il ne pouvait empêcher son visage d'exprimer tout ce qu'il ressentait à cet instant.

« Si cela t'es complêtement égal, si tu ne souffrira pas de cet assassina, avance vers la lame, embroche cette femme au bout. Pour le bien, il faut savoir faire des sacrifices, choses que je n'hésiterais jamais à faire. Puisque ce qui semblait être un simple enlèvement semble être quelque chose de plus fort maintenant. Sinon pourquoi prendre le contrôle d'une femme qui n'avait rien demandé à personne? »

Shikoru s'avanca lentement, si bien que la pointe de son arme appuyait sur le cou de la fermière, il continuait d'avancer et le contrôleur n'avait d'autre choix que reculer, jusqu'à ce que le mur l'arrète. La pression effectuer par la lame Zora se faisait plus grande, il s'arréta tout de même pour voir la réaction de cette personne. Il avait tout de même prit une précaution qui lui serait indispensable dans sa tentative de persuasion par la force, il était prêt à tout moment de retirer son épée du cou de la femme, de toute façon, il n'avait que deux possibilité, sois dire ce qu'il se passait, sois tenter de tuer la femme en s'embrochant lui même, et si c'était le cas il relâcherais son emprise sur la fermière, cet à cet instant que Shikoru pourrait en savoir plus.

Ah les princes, tous les mêmes, a toujours croire qu’ils sont les plus fort et qu’ils ne se feront jamais vaincre pour la simple raison qu’ils vainquent tout leurs petits camarades a l’épée… Cependant, et a leurs insu, il n’existait pas que deux forme de combat : l’épée et l’arc… Il existait aussi un troisième mode de combat, le plus long a maitriser et le plus difficile a contenir, cependant, si vous maitrisez la magie, vous êtes probablement bien plus fort que la plupart des gens… et c’est prouvé simplement par le fait que vous aillez eu la patience de l’apprendre… enfin donc, Irma et son contrôleur se faisait donc maintenant pointer par une lame et reculait lentement jusqu'à atteindre le mur… elle avait encore son sourire complètement démoniaque aux lèvres puis, tout d’un coup… son visage redevins comme avant : son regard étourdit, son visage triste et apeuré… puis, bien que les lèvres furent presque paralysées une petite voie se fit entendre… celle d’Irma :

-Ne… me laissez… pas…

Puis se tue… alors le regard redevins machiavélique et il regarda son adversaire comme si rien ne s’était produit… bien sur, il ne s’agissait que d’un piège mais si le roi était aussi humain qu’on le disait, son fils devrait l’être tout autant et, donc, il hésiterait a tuer Irma… et l’entité savait qu’elle ne se battrait pas contre le prince… son simple but était de lui miner le moral et de l’enrager jusqu'à ce que, totalement sans pitié, il cours a sa recherche et, ainsi, tombe dans un piège… un piège qui, refermant ses dents sur lui, le tuera ainsi que sa bien-aimée…

Shikoru n'avait plus le choix à cet instant, il fallait faire quelquechose pour arrêter ce jeu à le mentalité plus que déplorable, qui pouvait bien être ce lâche n'hésitant pas à utiliser le corps d'une femme à l'esprit incapable de lutter avec un mage, c'était un nouveau problème qui se posait à lui, il fallait le combattre sans attendre, où la vie de l'hôte pourrait en empatir. Son regard se refermait peu à peu, mais il luttait pour ne pas montrer agacement face à la situation, il se rapellait qu'il réglait ses conflits en jouant au shifumi lorsqu'il était enfant, mais la situation lui remettait vite les pieds sur terre, en effet la situation empirait à chaque seconde qui passait, et rien ne lui vint à l'esprit, une peur n'avait pas fonctionner, aucun autre choix se présentait à lui. Alors que sa lame commençait à trembler sous l'effet de la pression exercée par la dramatisation de cette pénible et non moins pesante ambiance qui régnait dans la pièce. Il savait qu'il n'y avait plus d'autre solution s'il souhaitait vivre, seulement son corps refusait de répondre à l'appel de son esprit. La mort... Il ne la connaissait que trop bien, il savait tout l'effet négatif qu'elle créait au sein d'une communauté, son expérience lui dictait de ne pas la tuer, mais un espèce de présentiment, de conscience, d'instinct de survie sans doute, lui disait de passer à l'acte, chose qu'il refusait de faire, son cœur lui imposait une autre solution, seulement elle n'existait pas pour lui. Il était comme dans un conflit interne, la bonne partie de lui imposait de laisser la vie à cette femme, alors que l'autre imposait la mort. Ce combat interne semblait interminable à l'esprit du jeune prince, lorsque soudain il relevait la tête qui avait eu tendance à s'abaisser le temps de ce conflit, il regardait la femme droit dans les yeux, ces yeux si sombres et meurtrier à la fois, ce regard glacial, seulement il ne pouvait s'empêcher de voir le regard d'une femme apeuré, cette femme qui faisait preuve d'un grand désarroi à l'arrivée du prince, celle qui souhaitait lui donner les informations qu'il recherchait. Elle était bien importante dans cette quête certainement futil et prouvant du caractère capricieux du blond, et pourtant il le devait. Sa lame sous le menton de la femme, la main gauche toujours accrochée à son bouclier, dans son dos, il décrocha son regard de celui de la fermière un court instant avant de le rattraper, ses yeux commençait à s'humidifier avant que des larmes ne viennent lui faire rougir les joues, lui qui avait d'habitude un teint si blanc se voyait montrer une face qu'il avait caché depuis ce jour, ce jour fatidique où son maître d'armes et ami s'était écroulé sur le sol poussiéreux du mont du péril, ce jour où Shikoru avait perdu toute envie de se battre, l'envie de vivre l'avait quitté pendant plusieurs mois, si proche d'une année il avait tout lâché. Mais son rang et son avenir déjà tracé à l'avance avait prit le dessus, et par simple respect envers le peuple d'hyrule, il avait reprit ses études, le combat et toute les choses nécessaire à la connaissance d'un futur roi. Les yeux plongé dans le regard si obscure de la femme, le prince héritier laissa quelques paroles avant de passer à l'acte, des paroles symboliques, comme si sa force n'était rien comparée à celle de son ennemis, il exprimait sa totale impuissance face à cette situation, les larmes en disait long sur l'état d'esprit dans lequel était entré le jeune homme aux yeux bleus.

« Désolé, je ne peux rien faire... Mais la mort vaux mieux pour vous que de voir vos mains s'enduirent de sang n'est-ce pas? »

Lorsqu'il posa cette question à la réponse inexistante, il changea tout à fait de comportement, ses larmes n'étaient plus alimentées, et son sourire était réapparu, Shikoru ne savait ce qu'il se passait dans l'esprit tordu du « marionnettiste », il savait seulement que son petit numéro aurait embobiné quiconque se trouvait en face de lui, il avait tellement dû jouer de son talent de comédien dans son enfance qu'il maîtrisait parfaitement ses larmes, notamment lorsqu'il séchait les cours de cette vieille harpie tyrannique, à chaque fois une excuse nouvelle accompagnait les excuses du jeune prince, et son maître d'arme le soutenait à chaque fois, bien qu'au bout d'un moment, ces excuses étaient toutes devenue plus farfelues les unes que les autres. En effet, l'imagination du prince était très limité puisque ses passe-temps reposait sur du concret, telle que la vie des enfants de son âge au sein du bourg d'hyrule par exemple. Mais revenons en aux faits, ce sourire narquois et si prétentieux en aurait agacé plus d'un, c'était une sorte de don pour lui, il leva sa lame vers le plafond avant de la rabattre d'un coup sec devant le visage de la fermière, ses cheveux avait voltigé à cause de la vitesse improbable de la lame, qui avait bien entendu créé un grand déplacement d'air. Seulement il ne l'avait pas touché, puisque le bouclier avait suivit la lame, certes plus lent au début, il prit de la vitesse à cause de la force centrifuge, tellement de vitesse que Shikoru avait du le ralentir, son objectif n'était aps de fracassé la boîte craniène de la femme, mais juste de l'assommer. Alors que le bouclier hylien au bleu si noble s'approchait de la tête de la femme, Shikoru se demandait s'il arriverait à atteindre son but. En l'assommant il pourrait ainsi prendre le temps de l'attacher solidement afin de lui poser des questions, de toute façon cette personne contrôlant la femme n'aurait pas d'autres choix, et avec le temps ses pouvoirs seront épuisés et il n'aurait d'autre choix que de laisser la femme reprendre le contrôle de son corps, certainement accompagné d'un mal de tête comme jamais elle en avait eu...

//HRP: Désolé du retard, mais j'ai eu une grosse semaine ^^' //

Un sourire illumina le visage e la femme… enfin… il tombait sous son jeu… enfin il croulerais et lui offrirais l’ouverture dont il avait besoin… mais son but n’était pas de tuer le prince mais bien simplement de le confronter… et c’était sur le bon chemin… cependant tout ne devait pas lui tomber tout cru dans le bec, avant cela il devrait chercher et chercher pour prouver qu’il méritait de revoir sa bien-aimée, même si il s’agirait de la dernière fois… quoi qu’il fallait dire aussi qu’ils seraient, a leurs façon, ensemble pour l’éternité…

Puis, la réaction du prince changea à nouveau… oh non… il avait été abusé… il avait lui-même baisser sa garde devant se adversaire devant un tel comportement… et maintenant, la lame fondait sur lui… Le regard de la femme s’attarda sur le sourire du jeune homme… puis il eu un excès de rage… il leva le bras entre sa tête et l’épée… celui-ci fut fracasser durement et l’on pu aisément deviner qu’il était brisé de partout… aucun corps… humain… n’aurait pu survivra a un tel choc… alors un cri atroce sortir de la femme, bien que sa bouche ne fut pas ouverte… un cri qui venait du plus profond de l’âme… car une chose importante a savoir avec les marionnettistes c’est qu’il n’avait jamais mal a la place de leurs marionnette… sinon a quoi cela servirait-il?... hors donc le cri ne venait de nul autre que de la femme qui, comme l’avait deviner le prince, était encore présente dans son propre corps… bien qu’il fut simplement écarter…

Maintenant son bras fracassé… du sang commençait à s’écouler par les oreilles, le nez, les yeux et la bouche de la femme… Il n’était pas question qu’elle survive… pas question qu’il ait tout cru dans le bec… pas question qu’il ait tout cru dans le bec… le sang s’écoulait lentement… lentement… puis la femme s’effondra… l’esprit qui la contrôlait la relâchait… malheureusement, personne ne pouvait survivre a un contrôle mental si puissant… lorsqu’elle entra en contact avec le sol, sa nuque se rompit dans un bruit de craquement répugnant… le dernier soupire qu’elle émit fut :

-Pas question… dans le bec…

Puis elle mourut… comme influencée par le destin, comme influencée par ce qu’elle avait vue et qu’elle n’aurait jamais du voir… elle avait regardé le diable dans les yeux… et ensuite celui-ci avait regardé a travers les siens… Il s’agissait du baiser du démon auquel l’on n’échappait pas… le baiser qui nous damnait et nous forçait a erré jusqu'à la fin des temps… l’échiquier qui était sur place eu alors un simple mouvement furtive et presque imperceptible… une pièce, celle représentant le jeune aventurier, avança de quelque pièces, comme par magie… et s’approcha de la pièce qui était rompue… Les dés étaient lancés… Le jeu pouvait enfin commencer… et tout ceci grâce à la vie de Helga…